C’était il y a 6 ans, soit un peu plus de 2000 jours, le site était lancé dans sa forme actuelle.
28 Novembre 2014, le site actuel fut donc ouvert à une époque ou covid-19 et confinement ne nous étaient pas du tout familiers. Je n’irai cependant pas jusqu’à dire que le monde était meilleur, mais il me paraissait tout de même un peu moins pire.
Bref, revenons au principal :
Un site pour tous depuis 6 ans :
Expression un peu légère et sans aucune prétention, mais c’est ainsi que j’ai voulu le site, parler de la ville et ses alentours, leur(s) histoire(s) et évolutions dans le temps, les lieux disparus.
En textes et en images afin que les explications soient les plus claires possibles, pour tout public.
Le choix des sujets se fait selon mes envies et si au départ il m’arrivait d’effectuer des recherches à la demande, ça n’est plus le cas dans la mesure où cela demande beaucoup de temps car ces recherches personnelles étaient faites en plus de celles dédiées au site (les archives municipales et départementales sont faites pour ça).
Et malgré les multiples demandes, non, une publication sous forme d’ouvrage papier n’est pas prévue. Pour l’instant, ça restera sous forme de site web.
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Tant que j’y suis :
Au risque de décevoir ceux qui ne jurent que par les « vrais natifs aixois pure souche du sud », désolé mes chers, mais je suis né en Seine-et-Marne ! Preuve qu’il n’est pas nécessaire d’être natif d’un lieu pour avoir le droit d’en parler. C’est qu’on a souvent remis en doute ma légitimité à aborder l’histoire d’Aix, sous prétexte que je n’en suis pas natif, (certains allant jusqu’à faire l’amalgame en me qualifiant de « parisien », qu’ils aillent donc voir une carte de France… – je précise que je n’ai rien contre les parisiens).
Et tant qu’à parler de légitimité, non, je n’ai pas fait non plus d’études d’histoire, ni d’archéologie ou dans le genre. Ca aussi, on me l’a souvent envoyé dans les pattes, mais depuis le temps que je bouffe le sujet, j’estime le maîtriser un « minimum », tout en ayant, bien évidement, la modestie de ne pas me qualifier d’expert, ni d’avoir l’exclusivité du sujet. Lire des bouquins et se renseigner est à la portée de tous.
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Il y a qui derrière ?
Il n’y a pas de piège. On me l’a souvent demandé mais il n’y a que moi, Damien Pachot (35 ans, célibataire, etc…), derrière ce site. Aucun parti politique, aucune association, aucun lien avec la municipalité ou quelque chose d’affilié à elle.
J’ai tout fait, seul, avec les ressources que je trouve et les logiciels (Photoshop, Sketchup, Blender, Qgis, etc…) que j’ai appris à utiliser selon mes besoins, avec ma tête et mes mains.
Je ne prétends pas tout savoir pour autant, loin de là, et en cas d’erreur que vous constateriez, n’hésitez pas à me le signaler en me contactant.
Par ailleurs, aucune pub, ni article sponsorisé n’ont été publiés sur ce site et aucun don monétaire n’a jamais été demandé. Ce site est fait par passion, le peu de frais qu’il me coûte ne concernent que moi. Le jour où j’aurai besoin de me faire « subventionner » en allant gratter ceci ou cela n’est pas encore venu.
Le site est là, gratuit, et, pour être transparent, les seules données utilisées en arrivant ici sont celles de Google Analytics, que j’utilise dans un but de statistiques des visites, c’est tout.
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La suite ?
Comme tous les ans, je ne peux me prononcer sur la suite, je ne cacherai pas que tout cela prend du temps mais si six ans viennent de passer, la septième devrait aussi pointer le bout de son nez.
Rétrospective du site :
Et si nous faisons un petit retour visuel et technique sur la naissance et la vie du site ? C’est parti…
2009 – Là où tout a commencé :
Pour être précis, et en réalité, l’aventure a débuté bien plus tôt. Si l’on passe le fait que depuis tout petit je suis très curieux, passionné d’histoire et de vieux cailloux, je pourrais fixer les débuts de mon intérêt pour l’histoire d’Aix vers 2009.
Je ne sais plus trop pourquoi, ni comment, mais c’est cette année là que j’ai commencé à sérieusement me documenter sur le sujet. Mais à ce moment de l’histoire, je gardais mes recherches pour moi, et moi seul.
(Ce qui est sûr, c’est qu’à un moment donné, j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de lacunes dans ce que je voyais en ligne. J’ai donc, au final, créé en quelques sortes le site que j’aurai aimé trouver au moment de mes recherches. Ces questions que je me suis posées, n’importe qui aurait pu se les poser, raison de plus pour en partager les réponses).
2012 et 2013 – Les débuts sur Facebook et le premier blog :
Ca n’est qu’à partir de début 2012 que j’ai commencé à publier quelques trouvailles sur Facebook, dans un cercle d’amis en privé. Au vu de l’intérêt que mes publication suscitaient, et afin de permettre au plus grand nombre d’y avoir accès, j’ai fini par lancer un premier blog en 2013. Ce « brouillon », dont il ne reste aucune trace en ligne, était rempli de vagues articles très légers et je l’ai fermé fin 2013. Mais les choses allaient reprendre l’année suivante.
[ Je n’ai pas de capture d’écran de ce premier blog à vous montrer 🙁 ]
2014 – La reprise avec un autre blog « Le Vieil Aix.fr » :
L’aventure a repris en février 2014 avec un nouveau blog nommé « Le Vieil Aix », c’est sur celui-ci que les choses sérieuses ont réellement débuté et qu’une partie des articles présents sur le site actuel ont été publiés. Le design était sommaire, les débuts, je le rappelle :
Cependant, pour ne pas qu’il y ait de quiproquos, ou qu’un quelconque lien avec la municipalité d’Aix ou le musée du Vieil Aix soit fait, j’ai pris la décision de renommer le site. C’est ainsi qu’est apparu « Aix en découvertes ».
28 novembre 2014 – « Aix en découvertes » est né :
C’est donc le 28 novembre 2014 que le site fut renommé, passant de « Le Vieil Aix » à « Aix en découvertes ». J’avoue que ce nouveau nom est plutôt à rallonge comparé à l’ancien, mais au moins on sait de quoi ça parle et le doute n’est plus possible.
Cette nouvelle étape, qui pourrait être un simple changement de nom fut bien plus, car c’est là que j’ai fixé définitivement le concept du site, ses sujets, etc… C’est donc la raison pour laquelle je considère cette date comme celle de sa naissance.
Dans un premier temps en « .fr », je l’ai transformé en « .com » en 2016, là aussi, pour une raison dont je ne me souviens plus :
D’abord hébergé chez sur la plateforme « Blogger », je l’ai passé sur un hébergement dédié, rien qu’à lui, en 2016 et désormais en « .com ».
L’année 2016 fut aussi marquée par ma contribution à l’ouvrage « Sextius Mirabeau » publiée par les Amis de la Méjanes pour lequel j’ai réalisé plusieurs infographies à leur demande (merci aux Amis de la Méjanes pour leur confiance et leur patience).
Cette publications s’est accompagnée de plusieurs conférences données avec des membres de l’association, notamment aux archives départementales, à la Méjanes, et au siège de la SEMEPA.
2016 :
A partir de là, le site a connu plusieurs changement d’apparence, ci dessous, en octobre 2016 :
L’année 2016 fut par ailleurs bien sympathique car j’ai été invité à deux reprises sur France Bleu Provence lors d’émissions pour y évoquer mon site et quelques anecdotes sur Aix (merci à Joëlle Jacq, Cédric Frémi et Thibaud Gaudry).
2017 :
En 2018, le site fut passé en « https » et la fonction pour les versions mobiles des pages en « amp » a été implémentée.
2019 :
En septembre 2019, il avait presque acquis son apparence actuelle :
En 2019, j’ai eu droit à une pleine page dans le journal « La Provence » (merci à Julien Danielides).
C’est aussi cette année là que j’ai ajoutée une catégorie dédiée à l’histoire et au patrimoine du village des Milles, un « quartier » où je vis depuis longtemps et pour lequel j’ai constaté beaucoup de carences en ce qui concernait son passé. Carences que j’essaie de combler comme je peux.
En novembre 2019, j’ai aussi eu l’occasion de donner ma première conférence « en solo » à la Maison de l’Espagne dans le cadres des « Causeries des Arcades » pour y évoquer mes modélisations en 3D d’édifices disparus (merci à Mylène Margail de Secrets d’Ici et à la Maison de l’Espagne pour leur accueil).
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Concernant le site, il restait un détail que j’ai ajouté cette année là pour rendre la lecture plus agréable et moins douloureuse pour les yeux, un thème sombre :