Les anciennes avenues Pelletan et Tardieu

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– Avant propos :

Cet article va aborder deux rues aujourd’hui disparues. Le but ici n’est pas de faire un historique et une description détaillée, mais d’observer davantage la transformation massive que les lieux ont connu à la fin du XXe siècle. Cet article a été rédigé à partir de nombreuses vues aériennes de différentes époques qui ne sont pas toutes publiées ici. Seules les plus pertinentes y sont présentes.


Plantons le décor :

Direction le quartier Sextius-Mirabeau vers l’actuelle avenue Mozart qui recouvre la voie ferrée. A ses côtés, en allant vers l’ouest, on retrouve le Pavillon Noir et le conservatoire. Puis, en prolongeant d’avantage ce tracé, on arrive au dessus de l’avenue Max Juvénal puis près de l’hôtel Renaissance, avant d’attendre le pont d’Anthoine.

Le plan du secteur abordé dans cet article
– Source : Openstreetmap

Cependant, le décor ne fut pas toujours ainsi et durant plusieurs décennies, c’est une tout autre configuration qui s’offrait au regard. A cet emplacement la voie ferrée passait à l’air libre et il y avait ici deux rues, dont il ne reste plus aucune trace, en raison des multiples remodelages qu’a connu le quartier. Tant et si bien qu’il est bien peu évident, de nos jours, de ce faire une idée des lieux tels qu’ils étaient jusqu’à la fin du XXe siècle.

1 – Dans un premier temps, nous observerons comment sont apparues ces voies et leurs configurations ;
2 – Dans un second temps nous observerons comment elles ont disparu.

Certain(e)s s’en souviennent peut-être, tandis que d’autre ne les ont tout simplement pas connues (comme moi). L’occasion de faire un retour dans un passé pas si lointain et revenir sur l’ancienne avenue Camille Pelletan et l’ancienne avenue (ou impasse) Tardieu.


L’ancienne avenue Camille Pelletan :

Avant d’évoquer sa disparition, intéressons-nous à son commencement :

Le quartier à la moitié du XIXe siècle – Quelques rues et chemins :

Commençons par observer la configuration du quartier sur un plan de 1848. La manufacture d’allumettes (actuelle bibliothèque Méjanes) n’était pas encore là et la gare en contrebas de la Rotonde non plus. Seules quelques rues, dont certaines ont disparu étaient présentes au milieu de ce qui n’état encore que la campagne. Quant à ce qui allait devenir la rue Camille Pelletan, rien n’était encore là.

Plan d’Aix en 1848
– Source : B.N.F. / Gallica

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1856-1875 – Un nouveau chemin tout en ligne droite :

En 1856 la ville d’Aix ouvrait sa gare ferroviaire en contrebas de la place de la Rotonde. Dans un premier temps, elle était à la fois destinée aux voyageurs et aux marchandises. Cette importante infrastructure a complètement bouleversé le décor et a coupé le quartier en deux.

Probablement pour contourner la zone occupée par la gare (en rouge ci-dessous), un long chemin rectiligne (nommé « chemin latéral » sur les plans anciens) avait été créé au sud de celle-ci (en bleu ci-dessous). Il partait du sud-ouest de la place de la Rotonde (près de l’actuelle poste) puis allait tout droit vers l’ouest jusqu’à l’actuelle avenue Ferdinand de Lesseps. Cette configuration dura un peu plus d’une vingtaine d’années :

En rouge le secteur occupé par la gare ; En bleu : Le tracé du chemin latéral créé pour la contourner.
– Source : Indicateur Marseillais de 1885 – B.N.F. / Gallica

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1875-77 – La modification du tracé du chemin qui doit être dévié :

A la fin des années 1870, le chemin changea de forme et perdit sa forme rectiligne. En effet : en 1877, la gare ne fut plus dédiée qu’aux seules marchandises. Et sur le tracé de ce chemin fut construit, vers 1875, un bâtiment en forme de demi-cercle : la rotonde des machines. Son rôle, comme son nom l’indique était destiné à la mise en chauffe des machines.

La rotonde des trains en cours de construction vers 1875 par Claude Gondran
– Source : Claude Gondran – Bibliothèque Méjanes, Aix-en-Provence – Cote : PHO. GON. (3), 132
Lien vers le document original

Du fait de l’implantation de ce bâtiment (en vert ci-dessous) sur le tracé, le chemin (en bleu ci-dessous) perdit sa forme rectiligne et fut alors légèrement dévié au sud-ouest, avant de rejoindre son tracé initial :

En rouge le secteur occupé par la gare ; En bleu : Le tracé du chemin modifié créé pour la contourner ; En vert : la rotonde des trains nouvellement créée.
– Source : Indicateur Marseillais de 1885 – B.N.F. / Gallica

Cette modification eu pour conséquence de transformer et ainsi diviser le chemin. Et c’est la portion de celui-ci qui se trouvait à l’ouest, juste au sud de la rotonde des machines, qui allait avec le temps devenir l’avenue Camille Pelletan (en bleu ci-dessous) :

La portion de chemin qui allait devenir l’avenue Camille Pelletan
– Source : Indicateur Marseillais de 1885 – B.N.F. / Gallica

La construction de la rotonde des machines ne fut pas la seule raison qui a poussé à cette déviation, car la création de la ligne ferroviaire Aix-Marseille ouverte en 1877 à eu pour conséquence de faire passer ces voies ferrées sur une zone autrefois occupée par ce chemin, comme on peut le voir ci-dessous :

Le quartier au début du XXe siècle – En bleu la future avenue Camille Pelletan qui longeait la ligne ferroviaire Aix-Marseille.
– Source : Indicateur marseillais de 1914 – B.N.F. / Gallica

Peu à peu, le quartier est plus ou moins devenu une « zone industrielle » acueillant l’usine à gaz, la manufacture d’allumettes, une usine de lampe électriques etc…

Ce chemin, d’une longueur d’environ 350 mètres, gagna le nom « d’avenue Camille Pelletan » vers les années 1930 et/ou avant 1915. On la retrouve dénommée ainsi au moins en 1939 dans la presse ancienne locale (1) comme on peut le voir dans l’extrait ci-dessous :

Mention de l’avenue Pelletan dans la presse ancienne (1)
– Source : Extrait du Mémorial d’Aix du 12 novembre 1939 – Bibliothèque Méjanes, Aix-en-Provence – cote : JX 0042
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Pour ce qui est de Camille Pelletan, il est né en 1846 et mort en 1915 et était un homme politique qui fut, entre autre : sénateur des Bouches-du-Rhône, député des Bouches-du-Rhône et ministre de la marine (2).


L’avenue / impasse Tardieu :

L’avenue Pelletan longeait donc la voie ferrée, mais vers son milieu, une impasse d’une longueur d’environ 90 mètres s’en détachait en direction du sud (en vert ci-dessous). Elle est peut-être apparue vers les années 1930 car elle semble ne pas être visible sur les plans antérieurs à cette période :

L’emplacement des deux rues sur un plan de 1936 – En bleu : l’avenue Pelletan ; En vert : l’avenue Tardieu
– Source Université de Berkeley (Californie)
Lien vers le document original

Elle gagna l’appellation « d’avenue Tardieu » probablement dans les années 1930. On la retrouve dénommée ainsi dans la presse locale à cette époque (3), comme dans l’extrait ci-dessous :

Mention de l’avenue Tardieu dans la presse ancienne (3)
– Source : Extrait du Mémorial d’Aix du 10 juin 1934 – Bibliothèque Méjanes, Aix-en-Provence – cote : JX 0042
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L’ensemble Pelletan / Tardieu au XXe siècle :

Pour prendre pleinement conscience de l’emplacement qu’elles occupaient, et puisque une image vaut mille mots, voici ci-dessous, une vue aérienne actuelle sur laquelle j’ai superposé une vue de ces avenues en 1964.

On peut y observer l’avenue Camille Pelletan s’étendant de l’est vers l’ouest et l’avenue Tardieu en direction du sud :

Les anciennes avenues Camille Pelletan et Tardieu superposées au décor actuel
– Fond de carte : Google Earth / Vue ancienne (détail) : I.G.N. / Géoportail (1964)

Comme on le voit, le décor actuel ne conserve aucune trace de ces deux voies.

– – –

D’un point de vue « urbain et utilitaire », les lieux ont eu leur petite vie :

– Du coté de l’avenue Camille Pelletan :

Longue d’environ 350 mètres, elle reliait l’actuelle avenue des Allumettes à l’actuelle avenue Ferdinand de Lesseps. Son côté nord longeait la voie ferrée. Son côté sud quant à lui bordait l’ancienne manufacture d’allumettes, quelques commerces et l’ancienne usine de lampes électriques.

– Une voie pour le quai de déchargement :
A proximité de son intersection avec l’avenue Tardieu, elle était traversée par des rails (mis en évidence en rose ci-dessous). Ces derniers formaient une voie de déchargement du bois destiné à la manufacture d’allumettes :

En rose : La voie de chemin de fer qui traversait l’avenue Pelletan pour acheminer le bois à la manufacture d’allumettes
– Fond de carte : Google Earth / Vue ancienne (détail) : I.G.N. / Géoportail (1964)

Si de nos jours les rails ont disparu, l’ancien quai de déchargement est lui, toujours là, aux pieds du conservatoire et du Pavillon Noir :

L’ancien quai ferroviaire où étaient déchargés les wagons de bois destinés à l’ancienne manufacture d’allumettes
– Photo prise le 23 juin 2021

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– Du côté de l’avenue Tardieu :

Longue d’environ 90 mètres, elle débutait vers le centre de l’avenue Pelletan et allait en direction du sud. On y trouvait là aussi des habitations, ainsi qu’un bar-restaurant, nommé « Entre-les-Deux », situé au n°1 de cette voie et qui formait l’angle avec la rue Pelletan. Cette impasse a accueilli plusieurs concours de jeux de boules, notamment dès les années 1930 (3) :

– Source : Extrait du Mémorial d’Aix du 10 juin 1934 – Bibliothèque Méjanes, Aix-en-Provence – cote : JX 0042
Lien vers le document original

Par ailleurs le Journal Officiel du 29 mai 1949 nous apprend que le bar-restaurant « Entre-les-Deux » situé à l’angle des rues Pelletan et Tardieu était le siège social de l’association de la « Boule du pont d’Anthoine » fondée le 2 mai 1949 (4).


L’ensemble Pelletan / Tardieu à la fin du XXe siècle :

La seconde moitié du XXe siècle, ou plus précisément sa fin, marqua le lent déclin de cet ensemble.

La vue ci-dessous remonte à 1979. Les lieux n’avaient pas vraiment changé depuis plusieurs décennies :

Les avenues Pelletan et Tardieu en 1979
– Photo : I.G.N. / Géoportail

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Une photo des lieux en 1980 :

La photo ci-dessous m’a été transmise (et je l’en remercie) par Mr Patrice Capoduro qui en fut l’auteur en 1980. J’y ai mis en évidence l’avenue Camille Pelletan en rouge. Cette photo montre quelques détails intéressants :

1 – En rouge au centre : l’avenue Camille Pelletan (aujourd’hui disparue) ;
2 – à gauche : on devine la manufacture d’allumettes (actuelle Cité du Livre / Bibliothèque Méjanes) ;
3 – à droite : l’ancienne rotonde des machines (emplacement aujourd’hui occupé par le Grand Théâtre de Provence) ;
4 – à côté de l’avenue Pelletan : on distingue la voie ferrée qui passait à l’air libre (aujourd’hui recouverte par l’avenue Mozart) ;
5 – à l’entrée de l’avenue Pelletan : on retrouve l’ancien passage à niveau (aujourd’hui disparu).

L’avenue Camille Pelletan en 1980
– Photo : Collection Patrice Capoduro

– A titre de comparaison, voici à quoi ressemble cette même vue de nos jours, prise du même angle :

La même vue, du même angle que la photo précédente
– Source : Google Earth

La disparition des avenues Pelletan et Tardieu :

La disparition de ces deux voies se fit en plusieurs étapes, à partir du milieu des années 90.

Fin 1993 – L’avenue Pelletan désormais coupée en deux par l’avenue Max Juvénal :

La disparition de l’avenue Pelletan est, en partie, liée à la création de l’avenue Max Juvénal. Son tracé consistait à faire passer perpendiculairement cette nouvelle avenue sous la voie ferrée. Mais au niveau de cette même voie ferrée, et la longeant, se trouvait l’avenue Pelletan qui finit, à partir de la fin 1993, par être coupée et réduite à deux portions séparées par la nouvelle avenue Juvénal qui fut achevée vers 1996.

Toujours en 1996, au nord de la voie ferrée, une voie provisoire fut alors aménagée entre l’avenue Juvénal et la rue Irma Moreau, probablement pour absorber le trafic de l’ancienne avenue Pelletan.

– Sur la vue ci-dessous, de 1996, on voit très clairement l’avenue Pelletan en deux parties (en rouge), ainsi que la voie provisoire (en bleu) destinée à la remplacer temporairement. L’avenue Max Juvénal est en noir :

L’état de la zone en 1996
– En rouge : l’avenue Pelletan désormais divisée : En bleu : la voie provisoire : En mauve : l’avenue Tardieu ; En noir : l’avenue Max Juvénal nouvellement percée.
– Photo : I.G.N. / Géoportail – 1996

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2000-2002 – L’avenue Tardieu rayée du décor et l’avenue Pelletan réduite à un bout de rien :

Cette impasse Tardieu et les constructions qui s’y trouvaient finirent par complètement disparaitre vers 2000-2002, lors du début de l’opération de recouvrement de la voie ferrée. A cette période, la portion ouest encore restante de l’avenue Pelletan disparut également. Seule une petite portion de l’ancienne avenue Pelletan, désormais désaffectée, subsistait encore à l’est.

Quant à la voie provisoire créée entre l’avenue Juvénal et la rue Irma Moreau, au nord de la voie ferrée en 1996, elle fut supprimée vers 1999-2000 et remplacée par des constructions.

La vue ci-dessous montre l’état de la zone en avril 2002. On y distingue la début du recouvrement de la voie ferrée (en vert), ainsi qu’une petite portion restante désaffectée de l’avenue Pelletan (en rouge) et de nouveau immeubles :

L’état du quartier en 2002 l’avenue Tardieu a disparu, ainsi que la portion ouest de l’avenue Pelletan
– En vert : le début du recouvrement de la voie ferrée ; En rouge : une portion restante de l’avenue Pelletan
– Photo : Google Earth

– – –

2011 – Plus aucune trace :

Le petit bout restant de l’avenue Pelletan, désaffectée depuis longtemps et laissée à l’abandon, disparut définitivement vers 2011-2012 lors de la construction du nouveau conservatoire et l’achèvement du recouvrement de la voie ferrée.

Le coffrage recouvrant la voie ferrée eu, par ailleurs, pour conséquence de former une nouvelle voie : l’avenue Mozart.

La vue ci-dessous, de 2011, nous montre le futur emplacement du conservatoire (en vert) ainsi que l’achèvement du recouvrement de la voie ferrée (en mauve) :

L’état du quartier en avril 2011
– En rouge : le petit bout restant de l’avenue Pelletan disparu en 2011 ; En vert : l’emplacement du conservatoire ; En mauve : la nouvelle avenue Mozart.
– Photo : Google Earth

Le recouvrement de la voie ferrée a permis de passer au dessus d’elle. L’avenue Camille Pelletan passait, elle au niveau de la voie ferrée. Par conséquent, l’actuelle avenue Mozart passe beaucoup plus haut que le tracé de l’ancienne avenue Pelletan.

– J’ai tenté résumer cela avec la photographie ci-dessous :

L’avenue Camille Pelletan passait au niveau de la voie ferrée, bien en dessous du tracé de l’actuelle avenue Mozart
– Photo prise le 23 juin 2021

Résumé en images de l’évolution du secteur au fil du temps :

1 – Les lieux à l’origine avec l’avenue Pelletan et l’impasse Tardieu (en jaune) :

Les avenues Pelletan et Tardieu sont en jaune
– Photo : I.G.N. / Géoportail – 1964

2 – Mise en évidence des routes actuelles (en bleu) sur cette même vue ancienne :

Les voies actuelles sont en bleu
– Photo : I.G.N. / Géoportail – 1964

3 – Ajout de l’avenue Mozart recouvrant la voie ferrée (en vert) sur cette même vue ancienne :

L’avenue Mozart qui recouvre la voie ferrée est en vert
– Photo : I.G.N. / Géoportail – 1964

4 – Ajout de l’emplacement des constructions actuelles (en rouge) sur cette même vue ancienne :

Les constructions actuelles sont en rouge
– Photo : I.G.N. / Géoportail – 1964

5 – Comparaison entre la vue ancienne de 1964 et une vue de 2020 au cadrages strictement identiques :

Comparaison avec un cadrage identique de la zone qui entourait les avenues Pelletan et Tardieu en 1964 et en 2020
– Photos : I.G.N. / Géoportail – 1964 et juin 2020

Des vestiges archéologiques sous l’ancienne avenue Pelletan :

Entre 2000 et 2004, des vestiges antiques ont été mis au jour sous l’ancienne avenue Camille Pelletan, à l’emplacement aujourd’hui occupé par le Pavillon Noir (5).

En 2011, d’autres vestiges antiques et le squelette d’un cheval datant d’entre les XVe et XVIIIe siècles furent retrouvés à l’emplacement aujourd’hui occupé par le conservatoire (6).


Petite curiosité pour finir :

Les avenues Pelletan et Tardieu ont disparu, mais assez curieusement, on les retrouve toujours dans le parcellaire du cadastre affiché sur le site Géoportail de l’I.G.N. – lien vers la carte (j’ignore si c’est normal ou si c’est un retard de mise à jour).

Je les ai mises en évidence en jaune sur les vues ci-dessous. Bien que nombre de constructions aient été détruites et d’autres construites depuis, on reconnaît leurs tracés sans trop de peine (section CN : parcelles 0178, 0218, 0268, 0296, 0297) :

Les tracés des anciennes avenues Pelletan et Tardieu ont persisté dans le parcellaire du cadastre actuel
Vues : I.G.N. / Géoportail et Google Earth

FIN !

– La rédaction de cet article ayant été particulièrement (très) chiante et longue à faire, notamment à cause des illustrations à retoucher et de la doc pas facile à trouver, vous m’excusez donc d’avoir la flemme d’écrire une conclusion digne de ce nom à ce pavé achevé dans la douleur. L’article est, je trouve assez complet (pour un truc bénévole, je le rappelle), c’est suffisant pour le publier et que j’en finisse ainsi avec lui. 🙂


– Sources :
(1) Le Mémorial d’Aix du 12 novembre 1939 (page 4 – colonne 1)
(2) A propos de Camille Pelletan : Wikipédia
(3) Le Mémorial d’Aix du 10 juin 1934 (page 2 – colonne 5)
(4) Journal Officiel du 29 mai 1949 (page 47) – Retronews
(5) Bilan scientifique régional 2000 (page 84) & b.s.r. 2004 (page 96)
(6) Bilan scientifique régional 2011 (pages 103-104)


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